Une journée comme une autre [PV Ed-Cas / Hot]

Nice to meet you

Je fini ma tasse de thé. Puis je fini ma cigarette. L’alliance de ces deux petit plaisir formait mon rituel de retour à la maison. Un long soupire s'échappa de ma bouche. Un soupire de détente. Je souris au directeur de la galerie. Pour l'instant il semblait satisfait de mes travaux. De ceux qui me satisfaisais le moins avec ça. Il intervint de nouveau sur la solitude du rouge sur mes travaux.
"J'utilise parfois d'autre couleur. bien que très peu, et peu sous forme de peinture. Mais effectivement tout tourne autour du sang"
Un petit temps d’arrêt et une réflexion. Je me sens d'un coup en position de gène. Ou plutôt de détresse. C'est un lapsus que je viens de faire ? Moi qui n'en ai jamais fait, moi qui réfléchis toujours à tout. Bon dieu. Qu'est-ce que je viens de faire ? Je me sens stupide. Je le suis peut être, après tout, je viens de faire un lapsus. C'est un manque d’intelligence certain. Je devais me rattraper, un acte non réfléchit deviendrai alors un acte de pure génie.
"Je veux dire... Le rouge est pour moi l'égal de notre sang. Il est ce qui donne vie au tableaux, la couleur rouge est le sang de l'art."
Voilà, ça c'est bien. Je me sens mieux. Le rythme cardiaque décélère. Je lui souris de nouveau. Je ressort une cigarette et l'allume. J'attends qu'il ai fini son thé. Puis je me lève.
"Si vous voulez voir d'autres œuvres, venez donc, je vous montre l'atelier."

Je fait le tour du fauteuil et me dirige vers la baie vitré donnant sur une immense jardin. Au bout de celui si, juste avant une barrière naturel que l'on peut nommer forêt. La traverser du jardin était agréable. Et ce dernier était magnifique. Sur plusieurs niveau vers le haut, une magnifique piscine et son extension jacuzzi entourer d'une belle terrasse. Le deuxième étage lui était bien plus vert, remplit de fleure, d'arbre et de buisson, le tout travailler par mon imagination et les mains experte d'un des meilleurs jardinier de new york. La dernière estrade était plus simple, simplement couverte d'un tapis d'herbe supportant un bâtiment, très, voir trop, simple. L'intérieure était spacieux, très spacieux. C'est mon atelier. Une partie est creuser, c'est dans la que j’entrepose le matériel Le niveau a même le sol lui était taché de peinture, des matières plus ou moins reconnaissable trainaient sur le sol. Et pour petit détail, une porte fermé a clé et cadenasser sur le mur former par le nivellement de la pièce, donnant accès a un sous sol, le sous sol interdit, celui de barbe bleu.
"Je suis désolé pour le bordel. C'est un atelier et j'y vais seulement pour travailler, non pour ranger...".
Il y avait encore une autre pièce. J'ouvre alors une petite porte en bois donnant sur une pièce bien mieux ranger, c'est là que j'y entreposais mes œuvres.
"Nous voici donc dans l'intimité de mon art."

Nice to meet you

Il entre dans la pièce, juste après moi. Il observa légèrement. Il sourit puis me regarde, parlant de chose intéressante. Je fixe son regard, ses yeux.

Je cherche dans un tiroir et récupère des gants en plastique. Je les mets. Je me retourne et me précipite vers lui, le poussant contre un mur. Il est déstabiliser et je le frappe au visage. Il perd connaissance. Je tire le corps jusqu'à la petite salle. Le de dépose sur le sol. Je lui pose une scotch sur la bouche. J'attends qu'il se réveille. Me regarde. Je lui souris.
"Devient mon œuvre."
J’entoure son cou de mes mains, et force. Jusqu'à sa mort. Puis démarre le processus de récupération, anti-coagulation, peinture, satisfaction.

Mais je n'ai aucune raison de le tuer.

Je m'avance vers lui, tout sourire que je lui rend. Je le pousse contre le mur, le plaque. Les deux bras lever, contre le mur, retenu par mes poings. Je l'embrasse Laisse tomber ma main, le long de son cou, de son torse, je passe sous son haut. Continue de l'embrasser en collant un peu plus mon corps au sien. Puis je commence a déboutonner son pantalon... Le baisse.

Mais je n'ai aucune raison de...

Enfin si. Il me plait. Et ça pourrait tourné a mon avantage, pour ma réputation. Ce sourire me perturbe, son sourire. Il me plait. Je lui rend son sourire. Mais je ne dis rien, ne fait rien. Je devrais peut être parler. Allez j'ouvre la bouche. Un truc intelligent, qui sous entende quelque chose, qu'il peut comprendre, ou ne pas comprendre s'il n'est pas intéresser.
"J'espère que tout dans cette pièce vous plait."
Ma voix avait insisté sur le "tout", j'ai même fait une petite pause après avant de reprendre ma phrase. Mon intérêt sexuel comme artistique était en jeu.

Nice to meet you

On accumulait les doubles sens. C'était comme une tarte. Il y avait le premier niveau, la croute, professionnel et froide. Ce qui entour le tout. Et à l’intérieure, on a un mélange de confiture dégoulinante et de fraise bien rouge. Et nous on rajoutait une cerise en plein milieu. De quoi dire "Hey regarde, y a plein de sensualité là dedans.". Et là j'ai plus qu'une envie, déchirer cette foutu croute et foutre de la confiture partout. De la confiture rouge. Et pas que sur les toiles. Je regarde le co-pâtissier, de haut en bas, longuement. J'ai d’abord penser à le tuer. Mais non, il y a quelque chose chez lui. Je ne sais pas trop quoi. Il me rappelle un peu se mec avec qui j'ai revisité brokeback montain.

Je m’arrête sur ses lèvres. J’entrouvre légèrement les miennes. Puis je regarde ses yeux. Ses mains. De belles mains, forte, mais élégante. Je referme la bouche et secoue la tête. Nous étions ici pour l'art. Le plaisir de l'art. Ou le plaisir du sexe. Je ne sais déjà plus vraiment. L'ai-je invité pour qu'il voit mes peintures ? Ou bien ma bite ? Je repense à "brokeback montman" et me sens tout excité. Je m'approche de Mr Wilde. Je suis extrêmement proche. Nous faisons approximativement la même taille. A deux trois centimètre près. Nous bouches était proche. Peut être trop.
"Quel est votre prénom déjà ?"

Nice to meet you

Je projette mon souffle sur son visage. Et il fait de même. Pendant un bref clignement d’œil, je respire son parfum. Un léger mélange de phéromone s'unit gracieusement avec un parfum pour homme que je ne peux reconnaitre. Je rouvre les yeux et plonge mon regard dans le sien.
"Oui. Vous pouvez m'appelez Edward."
Je ne sais plus ce que je veux. Je prend peur, je recule. Tousse. Puis retourne chercher une toile. Je suis pourtant un courageux dragueur d'habitude.
"Veuillez m'excuser. Ce n'est pas très professionnel."
Je me racle la gorge. Je sors une cigarette de mon manteau, et l'allume. D'habitude je ne suis pas aussi couard. Mais cette fois c'est différent. Je ne sais pas si je veux juste du sexe. Depuis que l'atmosphère a changer je le trouve différent. Et beaucoup de chose m'attire chez lui, sa dégaine, sa voix, son odeur. Tout a changer en si peu de temps. Mon corps entier travaille sur mes sentiments, le plafond semble s’écrouler, le lieu prend des airs de plage geler. Et je ne sais plus si je recherche une chaude fraise ou une douce pêche. Je suis là et j'ai reculer d'un pas, juste pour voir si le soleil se couche ou se lève, moi qui ne voit que le ciel au couleur d'une douceur à l'orange.

Je tire une autre toile d'un tiroir. Nous sommes ici pour ça après tout. Je regarde longuement le rouge. Un instant je ne sais plus ce qu'il m'inspire. La beauté bien sur. Mais est-ce la vie ? La sexualité ? La mort ? Je regarde de nouveau Castiel. Pourquoi est-ce que dans ma tête je me met à le tutoyer ? Pourquoi il n'est plus Monsieur le Directeur. Je l'observe, encore. Un petit moment. Un silence s'installe. Un peu gêner. Je fini par me rapprocher hâtivement de lui. Je craque. Je m'approche. Je l'embrasse.

Nice to meet you

Damned fuck. C'est fait. Mes lèvres sont coller aux siennes. Je lui mordille la lèvre inférieur. Pour l'instant on en est là. Je ne sais pas quoi faire. Qu'est-ce qu'il veut, lui ? Je me demande si je ne dois pas reculer. Le laisser réfléchir un peu... Je sens sa main se poser sur ma nuque, comme pour me retenir. Très bien. Je laisse tomber la cigarette et ma main passe dans son dos, au niveau des reins. Je remonte sur les cotes, clavicule, cou, puis sur sa joue. Je pose mon autre main sur son autre joue. Je le tiens lui aussi. J'aime ça, ça ne doit pas s’arrêter. Je frissonne en permanence à cause du contacte. J'ai froid, j'ai chaud. C'est différent de d'habitude. D'habitude je suis exciter, je baise, et c'est bon. Là c'est différent, j'ai pas ressentis ça depuis un moment. La je me sens tomber. Je suis tomber sur un bon, peut être le bon. Un super mâle, que tout le monde devrait avoir dans son lit. Je recule la tête, respire fortement, j'halète carrément. Je le regard dans les yeux. Putain il me plait, j'en oublie le reste, l'art, les meurtres, le sang, ma famille, mon frère, tout. Je mets une main sur sa fesse droite, l'autre dans son cou, je le ré-embrasse et le pousse contre un mur. La je passe de la fesse à la cuisse et lui soulève une jambe, continuant de l'embrasser, toujours.

"On devrait pas faire ça."
Pour une fois les règles morales et sociales m’atteignait. Ou presque. Je disais ça pour lui, mais au fond j'attends juste qu'il me dise "on s'en fou", ou je sais pas quoi. J'en ai bien l'intention, demain matin il boit son thé ici. Je commence alors vaguement a frotter mon entrejambe au sien. Mon dieu que j'en ai envie... Je sens même l’érection venir. Je fais tout pour qu'il m'ordonne de continuer.

Nice to meet you

C'est fait. Il me demande de la fermer. Mais il me vouvoie. Ça me fait bizarre. Voilà qu'on s’apprête à se baiser et qu'on se dit encore vous... Nan. C'est trop étrange.
"Au point ou en est, on peut se tutoyer, nan ?"
Je propose ça comme ça. Mais au final je m'en fou. Je continue de l'embrasser. C'est à son tour de me plaquer au mur. Il se la fait domination... Non pas que ça me gène, mais j'ai peu l'habitude. Remarque avec lui je suis un peu prêts à tout. Je bande comme jamais. Je le laisse faire, je me laisse faire. A un moment je soupire de plaisir, ferme les yeux et laisse ma tête se pencher vers l'arrière. Que c'est bon, j'en veux encore.

Je pose mes main sur ses cuisses, encore, et je bande mes muscles, je le porte. Je le porte jusqu’à un établi ou je le dépose, assit sur le bois. Je commence a déboutonner sa chemise. Je m’arrête au milieu et descend ma bouche dans son cou. Je commence un suçon, assez bas, pour qu'il reste discret. Puis je descends sur la clavicule, et enfin, en remontant mon visage pour l'embrasser, je passe ma main sur son entrejambe. On arrive au chose intéressante, très intéressante.
"On le fait ici ?"

Nice to meet you

Je sens ses mains glisser sur mon cou, passer sur ma nuque. Il me tire et m'embrasse. Je fini de déboutonner sa chemise. Je me sens bien. Ouai, c'est agréable tout ça. Mais pourtant la proximité de la cave de barbe Alexander me perturbe. Autant j'aime ce qui s'y passe, autant j'aime mieux vivre ma vie social loin d'elle. Je caresse les cotes de mon pâtissier, je déchire la croute, la confiture dégouline. Elle descend le long de ma gorge, sucré, douce, lente, existante. Je trouve les pêches sur la plage de sable fin qu'est sa peau. Je crois que j'ai trouver mon "americain boy". J'ai bien fait de voyager à New york, et même si je n'ai pas vu LA, j'espère bientôt voir l'empire state building.

"L'endroit n'est pas très agréable. Mais comme tu dis, c'est pas lui qui nous intéresse."
Je me suis mit a frissonner, l'embrasser de nouveau. Encore, toujours plus longuement. Je repasse dans son cou, je descend encore un peu. Mes lèvres passe sur sa clavicule, ses pectoraux, ses tétons, je frôle les côtes, je passe sur les abdominaux, le nombril. Je me mets à genou. Ça fait longtemps que j'ai pas fait ça, plus généralement c'est les gens qui me le fond. Ma position social en intimidait plus d'un. Mais la ce n'était pas qu'une histoire de cul, alors au diable mon plaisir, au bonheur celui de l'autre. Je commence a baisser son pantalon. Jusque là... J'espère que ça lui plait.

Nice to meet you

Assit sur le meuble tacher de peinture, bien qu'assez peu, il attendait. Pantalon baisser. Juste un morceau de tissu couvrant son bassin. J'embrasse son nombril et mordille légèrement sa peau. Je caresse ses cuisses, mes mains descendent le long de ses mollets pour finalement entrainer son pantalon et le faire tomber au sol. J'embrasse l’intérieur de sa cuisse, en moyenne c'est une zone assez érogène. Je ne voudrais pas allez trop vite, pas trop lui donner de plaisir d'un coup. Je vais un peu jouer avec lui avant... Jouer avec son plaisir, pour créer le mien.

C'était ça, je créais. C'est ce que j'aimais. Créer. Créer la beauté, le plaisir, le désir, la passion. Tout passait par ces différentes émotions, ce mélange de sentiment. Et en général la création ressemblait à une bavure de ce trop plein de mélange, qui s'écoule le long du saut de ma tête, récupérer par un pinceau, écraser sur la froide toile vide. Les éclats de mes vices était présent, tout autour de moi. Les coulures de mes pires pêchers. Et là je ne fais qu'empirer mon cas. Je créer le plaisir, je créer chez un homme, le plaisir sexuel. Je crache à la gueule des saintes ni touches, de la petite bourgeoisie qui se vente de comprendre l'art sans l'étudier, je crache aussi sur leur pied, peut être qu'ils essuieront leur chaussure et y verront le reflet de leur stupidité.

Je passe mes doigts sur l'aine, ma main passe sous le tissu et remonte pour atteindre le bas ventre encore couvert. Je caresse, sans pourtant me rapprocher du plus intéressant. Je ressort même ma main. J'embrasse sa peau au niveau de la vessie puis descend mes lèvres en descendant le tissu. Je pose mes lèvres sur son gland. Puis je sors la langue, et lèche de haut en bas son sexe avant d'y passer ma main. Voilà, ça commence.